mardi 8 mai 2007

L'industrie automobile française se contente de la victoire de Sarkozy

'Nous allons devoir remplacer beaucoup de véhicules,' expliquent les dirigeants de Citroën, Renault, Peugeot

Alain Terrieur
La Lune de la presse internationale


PARIS, FRANCE

Après la triomphe glorieuse et impitoyable de Nicolas Sarkozy face aux électeurs français dimanche, où le nouveau président a reçu 129% du vote, les fabricants de voitures français se sont contentés de la victoire de la droite. Félicitant Monsieur Sarkozy pour sa belle campagne face aux concurrents nettement moins qualifiés, les gérants de Renault, Citroën et Peugeot soutiennent davantage la politique de Monsieur Sarkozy, qui créera désormais une demande plus importante pour de nouvelles voitures.

"Chaque jour en France, il y a en moyenne trois cents véhicules qui brûlent," a expliqué Jacques Selaire, un porte parole de Renault. "Avec l'arrivée de Monsieur Sarkozy au pouvoir, nous espérons que cela va doubler, voire tripler. Les Français vont devoir acheter de plus en plus de véhicules pour remplacer les carcasses incendiées, et cela aura des effets importants sur nos chiffres d'affaires."

Les dirigeants des sociétés automobiles vont bientôt se tenir en réunion avec le nouveau gouvernement, formulant une véritable politique pour inciter la croissance économique. Ils espèrent développer des projets pour augmenter les violences dans les cités et les zones sensibles afin d'exploser la demande des voitures neuves, produites à bas prix dans les pays de l'est de l'Europe. Les citoyens seront appelés ainsi à remplacer leurs voitures lorsqu'elles sont détruites, payant trois fois la valeur réelle afin de faire tourner l'économie française.

"C'est un nouveau projet qui s'harmonise parfaitement avec la philosophie de Monsieur Sarkozy," a commenté Tony Fian, un haut responsable de Peugeot. "En créant plus de misère dans les quartiers, nous aurons forcément plus de violences, et les voitures vont toutes partir en flammes. Avec les grèves, les transports seront tous bloqués. Donc, par simple besoin, les Français devront acheter des voitures à crédit, et cela va faire tourner à la fois les banques, les producteurs automobiles, et encore l'administration et la justice. Les socialistes n'auraient jamais pu offrir un tel projet."

dimanche 6 mai 2007

Sarkozy remporte l'élection présidentielle avec 129% des voix

'Il n'y a aucune raison de douter du résultat,' déclare le Ministère de l'Intérieur

Agathe Sement
La Lune
de la presse internationale

PARIS, FRANCE

Nicolas Sarkozy a largement remporté le deuxième tour des élections présidentielles, obtenant 129% des voix lors des premiers résultats dimanche soir, contre -29% pour Ségolène Royal. En effet, les votes ont été calculé auprès des bases informatiques du Ministère de l'Intérieur, qui a utilisé un nouveau système de calcul expérimental. Dans des quartiers défavorisés à tendance socialiste - ainsi que les quartiers avec des pourcentages de fonctionnaires importants - tous les votes enregistrés ont donné deux voix pour le candidat de l'UMP, et moins une pour la candidate socialiste. Dans des communes "normales," à majorité blanche et avec des foyers gagnant plus de 40.000€ par an, chaque voix a été comptée trois fois uniquement pour le candidat de l'UMP. Selon le Ministère de l'Intérieur, le nouveau système a "très bien marché" et "le résultat est plus que fiable, il est à convoiter," a dit Tony Truand, porte parole pour les bureaux de vote. "Il n'y a aucune raison de douter du résultat," a-t-il ajouté.

La France se contente d'un président élu à une hypermajorité

Partout en France, les Français se sont réjouis des chiffres, en accueillant la nouvelle ère "Sarkozy."

"C'est trop bien que Sarko passe quoi," a dit Jemel Angemémeaux, un jeune du quartier défavorisé de Nantes. "Putain ça fait des années que j'en avais marre d'aller à l'école et tout, et maintenant je vais être peinard en taule. J'aurais pas à m'occuper de ma famille et mes voisins et tout. Ca va vraiment être trop bien quoi."

A Bercy, le ton était similaire. "Putain, c'est trop bien que Monsieur Sarkozy a été élu," a commenté une jeune diplômée de l'Ecole de sciences politiques de Paris. "Enfin, les Français ont eu la sagesse d'élire à une hypermajorité absolue un vrai président de la République, qui n'aura pas peur de tout réformer pour être plus comme les Etats-Unis. Il est vraiment temps! Putain je suis trop contente du résultat! Et je pense que tout les Français devraient être obligés de penser la même chose, parce qu'il y a aucune raison de douter du résultat."

Le nouveau président élu Nicolas Sarkozy était attendu en fin de soirée pour un discours à Paris. La plupart des électeurs qui ont voté dans des quartiers à tendance socialiste s'attendent dès ce soir partir dans des camps de rééducation, au cas où ils auraient exprimé des doutes sur le résultat, pour apprendre comment mieux aimer le nouveau président et rendre service à la République sous sa nouvelle direction.

Le journal anglophone très respecté, The La Rochelle Times, vous tiendra informé dès que de nouvelles informations sortent sur cet événement important dans l'histoire de la France.





jeudi 3 mai 2007

Sarkozy ouvre le feu au débat, tuant quatre personnes et blessant dix autres


Les médias soulignent les convictions fortes du candidat de droite et déclarent sa victoire face aux électeurs

Agathe Sement
La Lune de la presse internationale

MONTPELIER, FRANCE

Lors du débat présidentiel télévisé hier soir entre les deux gagnants du premier tour, Nicolas Sarkozy a ouvert le feu sur la salle en plein débat, provoquant la mort de quatre personnes. L'éruption de la violence était a priori à cause de l'agression persistante de la candidate socialiste, Ségolène Royal. Perturbé et désarçonné après avoir été pris dans des mensonges flagrants, le candidat de droite a sorti une arme automatique et tiré sur la foule, tuant quatre personnes dans la mêlée et faisant dix blessées. Les forces de l'ordre ont évacué les autres spectateurs avant que le Ministre de l'Intérieur ait repris la parole pour continuer le débat.

Après le drame, les médias ont souligné "la force et la conviction" de Monsieur Sarkozy, déclarant que ses actes violents ont été largement "l'événement clé" du débat, ce qui va donné lieu à "une présidence de justice et de morale" si Sarkozy est élu dimanche. Les militants de l'UMP ont eux aussi soutenu les actions de Nicolas Sarkozy, expliquant que sa force et son caractère étaient évidents lorsqu'il a pris la décision d'utiliser au hasard une force fatale contre des personnes innocentes.

"Ceci ne fait que souligner ce que nous avons dit pendant toute la campagne," a expliqué Marie Schesse, un partisan de l'UMP. "Maintenant personne ne peut avoir un doute sur la vigueur et les convictions de Monsieur Sarkozy, et j'espère que les électeurs s'en souviendront lors du scrutin dimanche. Je rappelle aux Français que, si jamais Monsieur Sarkozy ne passe pas, il va peut être y avoir beaucoup plus de débats politiques qui nécessiteront des démonstrations de convictions telles que nous avons vues hier soir."

La candidate socialiste a répondu aux violences de l'UMP par des phrases précises et exhaustives et des idées compliquées, qui n'ont pas réussi à intéresser les téléspectateurs. Selon les analystes, la candidate socialiste a été "trop dans la pensée et pas assez dans le spectacle," ce qui pourrait la défavoriser dimanche prochain.

"Effectivement, Madame Royal sait très bien mener un débat, mais Monsieur Sarkozy a pris le dessus lorsqu'il a sorti son arme et tué les spectateurs. Décidemment, Madame Royal n'a pas les mêmes convictions fortes que le candidat de l'UMP, et c'est ainsi qu'elle a perdu le débat face à la droite," a commenté Denis Grement, un journaliste pour Le Figaro.

The La Rochelle Times soutient M. Sarkozy

Le journal anglophile très respecté, The La Rochelle Times, donne son soutien au candidat américain aux élections présidentielles françaises, Nicolas Sarkozy.

Nous espérons que notre choix très réfléchi influencera votre vote dimanche prochain. En tant que journal objectif, nous n'apportons que très rarement notre soutien à des candidats politiques. La nature assez exceptionnelle de Monsieur Sarkozy nous a donc poussé à nous déclarer dans sa faveur.