Le Hamas déclare avoir déclenché la canicule et les incendies de forêt de 2003

Riposte israélienne déjà en cours

Alex Terrieur
La Lune de la presse internationale

PARIS, FRANCE

Le Hamas, un groupe armé palestinien en résistance contre l'occupation israélienne, a avoué vendredi une grosse part de la responsabilité pour la canicule de 2003, les incendies de forêt et les inondations quotidiennes en France depuis quelques années. L'Israël n'a pas tardé à riposter, et à l'heure actuelle aurait détruit plus de soixante pourcent du territoire palestinien après cette annonce surprise du leader de Hamas.

Le Hamas, qui tient désormais une majorité de sièges au parlement palestinien, est considéré comme un groupe terroriste par l'Union européenne, les Etats-Unis et l'Israël. Or, depuis 2000 l'Israël a accusé les veuves des membres tués de Hamas de se servir de "larmes de destruction massive" en pleurant les morts dans les rues.

Cette nouvelle part de responsabilité pour les attentats en France déclarés "non symétriques," comme la canicule ou les incendies de forêt, va obliger les nations de l'Europe à faire face à cette menace d'insécurité croissante. En exploitant de la haute technologie, comme le Cuba aurait fait lors de l'ouragan Katrina aux Etats-Unis en 2005, le Hamas aurait changé les courants maritimes afin de parvenir à un réchauffement important de l'atmosphère pendant les mois de juillet et août 2003. D'ailleurs, ce n'était qu'un test préliminaire. Les experts jugent qu'avant 2010, le Hamas pourrait frapper à nouveau sur le territoire français, provoquant des inondations importantes et des températures très élevées.

Nicolas Sarkozy a déclaré à la suite de l'annonce que la France "s'engagerait sans fléchir à côté de ses alliés israéliens, en finançant des nouvelles frappes militaires, et en vendant un maximum d'armes." Un engagement des troupes françaises pour l'instant reste un peu moins probable, à cause des luttes difficiles contre les extrémistes fascistes en Côte d'Ivoire, en Afghanistan, et au Liban.

L'Elysée se déclare "satisfaite" des progrès dévastateurs infligés contre le Hamas, a déclaré Corentin May, un porte-parole du Président. "Mais il reste beaucoup de chemin à faire. On a une puissance nucléaire non déclarée, qui est l'Israël, et on veut qu'elle puisse agir sans scrupules contre ses terroristes radicaux qui se munissent de kalachnikovs et d'ondes climo-perturbatrices. Ils doivent se rendre compte que, à tort ou à raison, c'est la liberté qui gagne. On va tout faire pour arriver à cette fin."