Agathe Sement
La Lune de la presse internationale
MER DE ROSS, ANTARCTIQUE
La glace a été brisée aujourd'hui en Antarctique suite à un vote en faveur du mariage homosexuel pour tous les manchots de la région, après des années de débat féroce autour du sujet. Partout dans l'hémisphère austral les oiseaux homosexuels, qui peuvent ni voler ni se marier, se sont contentés du résultat, en espérant qu'il serait un précédant important. A travers cet acte courageux et fort, le Conseil Antarctique des Sphéniscidés a voté en faveur de la mesure avec une majorité de sept voix contre deux.
Les deux dissensions viennent des représentants d'une espèce minoritaire en déclin, le manchot royal, qui serait plus traditionnelle que la majorité tenue par les manchots empereurs. Des membres de la famille royale sont plutôt connues pour leurs modèles sociaux patriciens et strictes. Donc il n'est pas surprenant qu'au moins deux représentants de l'espèce se sont opposés à la mesure.
Les nouvelles stipulations concernent les couples gay des manchots qui ont lutté pendant des années d'obtenir les mêmes droits aux œufs que ceux des couples mixtes. Par ailleurs, les meilleurs terrains de reproduction et de nidification avaient été réservés aux couples hétérosexuels, alors que les manchots homosexuels étaient obligés de se servir des terrains nettement moins favorables. La mesure change aussi l'ordre hiérarchique pendant la chasse aux poissons.
L'Antarctique était la première région à voter pour le mariage homosexuel, mais d'autres espèces de manchots et de pingouins autour du monde espèrent voir des progrès dans leurs propres colonies. Des couples rebelles, actuellement détenus au Zoo du Central Park à New York, avaient annoncé leurs mariages en captivité, faisant scandale dans le monde des oiseaux non volants. Enfin, les scientifiques ont pour autant remarqué après la nouvelle que le comportement homosexuel était assez répandu dans les communautés en Antarctique que la majorité semblait représentative est juste.
Les deux dissensions viennent des représentants d'une espèce minoritaire en déclin, le manchot royal, qui serait plus traditionnelle que la majorité tenue par les manchots empereurs. Des membres de la famille royale sont plutôt connues pour leurs modèles sociaux patriciens et strictes. Donc il n'est pas surprenant qu'au moins deux représentants de l'espèce se sont opposés à la mesure.
Les nouvelles stipulations concernent les couples gay des manchots qui ont lutté pendant des années d'obtenir les mêmes droits aux œufs que ceux des couples mixtes. Par ailleurs, les meilleurs terrains de reproduction et de nidification avaient été réservés aux couples hétérosexuels, alors que les manchots homosexuels étaient obligés de se servir des terrains nettement moins favorables. La mesure change aussi l'ordre hiérarchique pendant la chasse aux poissons.
L'Antarctique était la première région à voter pour le mariage homosexuel, mais d'autres espèces de manchots et de pingouins autour du monde espèrent voir des progrès dans leurs propres colonies. Des couples rebelles, actuellement détenus au Zoo du Central Park à New York, avaient annoncé leurs mariages en captivité, faisant scandale dans le monde des oiseaux non volants. Enfin, les scientifiques ont pour autant remarqué après la nouvelle que le comportement homosexuel était assez répandu dans les communautés en Antarctique que la majorité semblait représentative est juste.
